N.B. : Cet article fut écrit avant les infamies à visée destructrice de la FMP de janvier 2024. Loin de nous, pourtant, la folie d’être des prophètes de malheur, nous nous efforçons de la publier ici à titre de mémoire seulement. Il est évident qu’Haïti vit l’une des périodes les plus critiques de son histoire. La crise socio-politique est à son paroxysme. Tous les secteurs de la société en souffrent et en pâtissent. A chaque fois, le secteur éducatif très sensible, car concerne les jeunes, les enfants, paie au prix fort les retombées. La FMP ne fait pas exception, elle est sévèrement perturbée. Déjà, bien avant ce 29 février 2024, date à laquelle, les turbulences qui secouent les parages ont obligé la FMP à cesser ses activités, la FMP faisait face à un ensemble de difficultés pour boucler l’année académique 2022-2023 et aborder l’année académique 2023-2024 plus sereinement. Mais sans compter sur ce climat d’insécurité généralisée fait de kidnappings, guerres de gangs...